La révolution fiscale selon Macron : une « grande machine à redistribuer à l’envers »

La révolution fiscale selon Macron : une « grande machine à redistribuer à l’envers » - https://t.co/omjRDHxz4r

— FdeG.BJL (@FdeG_BJL) 27 octobre 2017

Comments

[fdgbjl]

L’abrutissement fait son travail, et il ne reste que "le désir de révolution".

La puissance de cette pseudo-démocratie capitaliste, c 'est de permettre à beaucoup de jouir un minimum, tout au plus d'en avoir l'illusion.

Nous sommes portés par l'horizon du grand soir, à chaque gréve, à chaque indignation, à chaque limite franchie par le capitalisme déshumanisant, à chaque frémissement de la rue, on y croit.

Force est de constater, alors que tous, oui tous même les gars de droite, espérons des lendemains qui chantent, beaucoup regardent le train passer, miroir de leur incapacité collective à se bouger le culs, auto-alimentant l’inhibition de tout les mouvements populaires. Simplement par la peur de perdre le peu, ils ne misent pas sur l'éventualité d'un monde meilleur.

Ici dans ces colonnes ont peut crier notre haine du capitalisme, la crise écologique ou bien la déshumanisation du système, tout le monde s'en fout, on est même pas censurée !! il n 'y aura pas de révolution.

Mais le jour qu'on leur enlève leur droit d’amener leur gamin en bagnole pour faire 100 mètres, qu'on leur couper leurs smartphones ou leurs émissions divertissantes. Là, fort à parier que cela bougera.... miserum.



Ne baissons pas les bras, restons disponible pour lutter, informer, éclairer.

[Mialane]

Tout cela, je le savais ou à peu près. Ma grande question, c'est maintenant: que pouvons-nous faire? ni les grèves, ni les manifs n'ont d'effet, je ne parlerai même pas des urnes.



Alors? moi je suis pour une grève de la conso (à Noël, serait excellent), un refus des déplacements, pour des envois massifs de courrier à l'Elysée, à Matignon (les derniers renfloueront toujours la Poste, hélas de pas en plus privatisée), assiéger les Conseils régionaux, préfectures et autres administrations (il faut être vraiment beaucoup ) et je sais que finalement personne n'en aura le courage. Alors moi je crois que je vais baisser les bras.